Forum - Créatif Chimaera
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Melchiavel
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Melchiavel


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Date d'inscription : 18/08/2009
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MessageSujet: Flashbacks   Flashbacks Icon_minitimeLun 20 Juin - 11:19

Voiçi donc tout les flashbacks du festival. De toute façon, à votre retour, il y aura eu assez de témoins pour que ce ne soit pas possible de cacher vos frasques.

Par la fenêtre de l’auberge, le vieil homme regarde Romie avec tendresse et méfiance. Il semble s’être décidé à veiller sur elle, d’une certaine façon.
Et puis, il se tourne vers quelque chose dans la même pièce que lui et commence à bavarder. Évidemment, il est impossible d’entendre ce qu’il dit à cette distance, mais il a un air très sérieux.

Astria est perchée dans un arbre. Ses voiles s’agitent dans la brise et elle ne peut s’empêcher de rire en laissant pendre ses bras vers le bas de sa branche.
- Gnaaaaa… moi aussi j’aimerais bien voler. »Pourquoi moi j’ai pas d’ailes? C’est pas juuuuuuste… Regarde Harold! Moi aussi je suis un oiseau! Il le dit tooooout le temps!
Sur ce, elle glousse une dernière fois et se laisse mollement tomber de sa branche, rattrapée en bas de justesse par Sunrack, qui semble trouver cela moins drôle.
- Non mais…t’es tombée sur la tête ou quoi?
- Meeeuh non…je savais bien que tu serais là…t’es toujours là.


Xavier est assis sur un tonneau, et il est littéralement mort de rire. Il partage son perchoir avec Kazu, et tout deux observe deux villageois ivres qui sa bagarrent comme des chiens de rue. Un petit groupe regarde la scène avec un regard critique.
- Est-ce qu’on sait pourquoi ils se battent?
- Je pense bien que lui a chipé sa chopine en étain.
- Tu veux dire celle que Xavier a dans les mains?
- Ah… bin ouais…





Dredanne fait une scène à Astria. Elle est très agitée et visiblement irritée.
- Blabla! Non mais sérieusement!! Vous vous regardez aller? Tout ce temps que vous perdez en babillages!
Astria, confuse, bafouille une réplique plus ou moins convaincante.
- Par…ler. C’est important pour comprendre…pfff… vous les tapocheurs…
- Encore du blabla! Et pis quoi?? Sans moi le tisserand aurait jamais repris sa place. JAMAIS. Tout ce blabla alors qu’il suffisait d’un coup de couteau bien placé!!


Zeken tient un homme à la gorge et le secoue comme un poirier. Le pauvre homme a à peine les pieds qui touchent le sol, et il semble terrifié. Zek, lui, semble complètement hors de lui.
- T’AS DIS QUOI PAUVRE CON? T’AS DIS QUOI HEIN? HEIN???
L’homme ravale sa salive et bafouille.
- Je…je m’excuse messire. Je voulais pas dire ça…c’est…ce…
Comme si il n’entendait rien, Zeken continue à secouer l’homme comme une poupée de chiffon.
- ESPÈCE DE MERDE TU DIS PLUS JAMAIS UN TRUC COMME ÇA PARCE QUE LA PROCHAINE FOIS JE T’ENTERRE VIVANT TU PIGES?? JE TE CRÈVE!!
Il finit par lâcher prise, et l’homme détale comme un lapin en se tenant la gorge. Les quelques villageois qui se trouvent à proximité dévisagent Debrume en silence. Le kelkain remet mollement son chapeau.
- PERSONNE ici n’a le droit de dire qu’elle est morte, vous m’entendez? PERSONNE.


Un jeune homme, étranger au village, s’est approché de Maria avec deux coupes de vin en main. Ses mèches rouges sont tressées vers l’arrière, et il a un petit sourire en coin salace pendant qu’il tend une des coupes à Maria. Il s’approche et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Ce à quoi, avec un de ses célèbres regards meurtriers, Maria lui décoche une gifle retentissante. La main de la prêtresse encore étampée sur la joue, l’étranger rit.
- En voilà, une main farouche! Bizarre…il me semble que t’étais pas aussi nitouche quand tu léchais les bottes…ou autre chose… de Joserion. Tu vieillis mal.
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Katsuko et Maria sont juchées sur une des tables à l’extérieur. Les deux sont de toute évidence assez ivres. Katsuko a sorti ses instruments de musique et accompagne Maria qui a visiblement décidé de chanter et d’animer la petite cohorte de fêtards qui se trouve autour. D’ailleurs ceux-ci ont l’air d’avoir beaucoup de plaisir. Maria prend son air semi impérieux.
- Vous là-bas! Si vous dansez pas c’est que vous n’aimez pas ma chanson?? Vous voulez que je vous maudisse jusqu’à la troisième génération??
Sur ce, le fautif, Myrsen le forgeron bafouille quelques chose d’un air timide.
- Bah…euh…c’est que je boite…
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« Simon » s’éclabousse avec son verre en riant.
- Quelle merde, Valérick!! Je tiens pas debout mais cette nuit est TROP géniale! Cet endroit est GÉNIAL!
Valérick sourit, les yeux un peu voilés par l’alcool.
- Ah…désolé Simon de t’avoir laissé en plan si longtemps…tout a été si vite…
Le fae passe un bras amical autour des épaules du naillien.
- Bah! C’est pas grave j’ai trouvé des copains en chemin, comme tu vois. Je m’appelle pas Simon en passant. Je m’appelle Marsyas. Tu sais…comme dans j’suis un des fils du priscus Cinyras? (il dit cela avec fierté, comme si c’était une évidence)
Le fae se tourne brusquement et colle un baiser très mouillé et sonore sur la joue de Valérick.
- Dis donc, l’ami…tu me prêterais Romie pour la nuit?
















Adrien (Maxime) regarde les fêtards d’un air détaché. Il sirote son verre pour les apparences, car l’alcool n’a jamais eu d’effet sur lui, étrangement. Une femme inconnue s’approche de lui, en le dévisageant d’un air minois. Elle s’approche de plus près que ne le prescrit la décence.
- Et vous…? Vous n’aimez pas cette petite fête?
L’homme ne sourit pas et répond d’une voix tranquille.
- J’en profite. Ça ne se voit pas mais j’en profite.
- Pas assez…malheureusement… c’est triste de ne pas pouvoir s’embrumer les sens. La vie est tellement courte.
Adrien hausse les épaules, et observe la femme dont les mèches rouges ondulent dans le vent.
- Je peux garder un œil sur ce qui se passe. Il en faut bien un.
Elle rit.
- Voyons…je vais vous aider. Cette nuit est si belle, je peux bien vous faire ce cadeau.
Elle rit de nouveau et tournoie un peu avec son châle coloré.









Rumeur se tiens mollement sur ses pieds et dévisage Tristan avec méfiance. Elle a clairement un verre dans le nez… ou plusieurs.
- Finalement j’ai compris. Je comprends TOUT, là. C’est un jeu, c’est ça?
Le musicien secoue la tête lentement et glisse les mains dans les poches de son manteau gris. Lui aussi, visiblement, n’est pas en possession de tous ses moyens.
- Naon. Tu comprends encore des trucs qui sont juste dans ta tête…fais pas ça.
Rumeur éclate d’un rire sec comme un coup de fouet.
- Bah ouais! C’est ÇA dans le fond. T’existes pas non plus. T’es comme ces chimères qui tournent autour des gens et qui font qu’ils se balancent dans les puits ou che pas trop! Bin VAS-Y. ALLEZ. QU’EST-CE QUE T’ATTENDS P’TITE MERDE?
Tristan renifle, les joues rouges d’alcool.
- D’accords.
Il s’approche d’elle et l’embrasse avec fougue. Fougue à laquelle elle résiste d’abords et puis, cessant de se débattre, elle dévisage son cavalier et lui rend son baiser. Elle essuie une larme sur sa joue, et lui saute au cou.
- T’en vas pas. T’as pas besoin de partir. S’il-te-plaît…
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William dialogue avec un des taverniers, qui en fait n’est pas du tout attentif. Au contraire, il est visiblement endormi la tête sur le comptoir.
- Mais tout ceci est de la rhétorique…bien entendu… humpf...vous ne me semblez pas très attentif.
Puis, ne recevant pas de réponse, Il hausse les épaules et regarde brusquement par la fenêtre.
- Oh…vous avez entendu le tonnerre, vous?
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Mirkhame est ivre. Debout devant des villageois avachis devant le feu, il fait de grands gestes avec les bras, en éclaboussant un peu partout avec sa bière.
- Et là…faut pas se dire que tout est vrai dans l’fond…vous savez Myr c’est un chic type. Pas comme moi…en tout cas…et pis là, je vais plus jamais mentir…et être un bon papa. Passsque c’est dans ses commandements, voyez? Enfin…chui sûr que j’ai vu ça kekpart…parce que sinon pouf! Tout crame! Oh…non…ça c’est ma femme. Haha. La femme la plus chaude de toute la région HAHAHAHA. En tout cas…faites des petits, là…ça aussi chui pas mal sûr que c’est dans ses commandements… enfin…je penseeeeu.
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Verana tournoie sur elle-même en riant, ses ailes d’insecte miroitant dans la lumière du feu. Comme un papillon, elle s’agite dans la lumière et semble avoir grand plaisir à faire glousser Tilleul, le petit bébé qu’elle tient dans ses bras.
Puis, un pas trop brusque fait bondir un tison hors des flammes. Celui-ci atterrit sur une couverture qui s’enflamme immédiatement. Sans bouger, comme fascinée, Verana regarde sans rien faire pendant que des villageois s’empressent d’éteindre les flammes.
Puis, elle chuchote quelques chose à son bébé et s’éloigne lentement.








Harold, incroyablement ivre, tente de parler à une demoiselle vêtue d’un bustier rouge plutôt pigeonnant et d’une jupe jaune à froufrou. Il est entouré de fêtards qui rit bruyamment et scandent des chansons qui parlent de meilleurs jours.
- Fle…ssson! LÀ.
La petite troupe de fêtards, dans laquelle se trouve entre autre Astria, Maria, Sunrack, Katsuko, Xavier et Kija se mettent à crier leur approbation.
La jeune dame sourit et, d’une voix un peu protocolaire, elle répond.
- Commander le Flex. Oui, bien sûr monsieur Harold. Où allons-nous?
- Pas..ci tooka! Haha. Loin.
- Très bien. Déclenchement du Flex dans 1800 secondes.

Harold, incroyablement ivre, tente de parler à une demoiselle vêtue d’un bustier rouge plutôt pigeonnant et d’une jupe jaune à froufrou. Il est entouré de fêtards qui rit bruyamment et scandent des chansons qui parlent de meilleurs jours.
- Parfaaaaaait! Woohooo. À NOUS LA VRAIE VIE!!
La jeune dame sourit, papillonne des yeux.
- Le flex retournera à sa position initiale dans 48h monsieur Harold.
Harold secoue la tête avec vigueur.
- Nooooooooon… maintenant…non pas maintenant…attend qu’on soit loin pis zoooou! Compppis?
- J’attends que vous soyez loin et j’enclenche le flex de retour.
- Voui. Paaaafait.
- Vous êtes certain?
- Hahaha! Pluuuus que oui.
- Très bien. Adieu monsieur Harold.
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Shisha se tient un peu à l’écart des festivités. Elle regarde les humains s’ébrouer d’un air songeur. Puis, elle se rend compte qu’il y a une table couverte de nourriture. Une femme aux cheveux rouges est assise sur la table, et s’empiffre de petites boules colorées probablement sucrées.
Le félin s’approche, renifle les différents plats avant d’en faire tomber quelque uns au sol du bout de la patte. Le dernier, une assiette plein de petits poissons trempant dans une sauce rouge éclate au sol. Shisha se redresse, les oreilles bien droites et le museau frétillant. Puis, elle s’assied sur le sol, ramasse les petits poissons et commence à les engloutir lentement.
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Au milieu de la fête, l’aubergiste approche les deux voyageurs de Fyriel, Augustin et Eliane, et leur offre à boire.
- Des gens de Fyriel…vraiment? Mais c’est GÉNIAL. Je n’en ai pas vu depuis…euh…je n’en ai jamais vu, à dire vrai. Mais…il a disparu non? Avec les autres? Ce pauvre vieux. Je me demande où il a bien pu aller. Il aurait sûrement aimé cette soirée. Vous allez devoir boire ce que je lui aurais offert. Enfin…façon de parler bien sûr…c’est pas comme si je lui avais déjà parlé pour vrai…
L’aubergiste glousse avec douceur, puis fouille dans sa poche.
- Tenez. Quand vous le verrez, vous pourrez lui redonner ça. Il me l’a prêté un jour je crois…et puis il était dans ma poche depuis je sais pas combien de temps. J’ai oublié avec le temps. Il a dit que c’était un truc pour retrouver son chemin. Un fil à suivre qui guide dans le noir. Ou encore…peut-être la corde qui sert à attacher un cheval. Ou bien un début de collier. Ou un trophée de crops. Je sais plus trop.
Elle se gratte la tête, confuse.
- Enfin…c’est ce qu’il aurait dit si je lui avais parlé un jour bien sûr. Ou si j’étais un homme. Ce qui n’est pas le cas, évidemment… parler à un dieu…elle est bonne ha!ha!ha!


Delsyryn, le cordonnier de Nouvelle-Alliance, termine sa bouteille de vin de betterave. Il doit être la seule personne du village à apprécier cette boisson de haute voltige. Il renifle bruyamment et laisse échapper un rot de classe mondiale. Il s’adresse à maître Vallier de son ton bourru.
- T’as l’air d’un bon gars…ouais…d’un bon gars. Mais tu viens de Chourmel huh? C’est le trou de cul du monde, paraît…ouais…attends…j’ai quelqu’un là-bas qui me doit de l’argent. Je sais même pas si il vit encore. Tiens…prends donc ça… c’est pour lui. Tu lui diras…que j’suis désolé pour son connard de fils… NON. Dis lui que j’suis pas désolé. Oh et puis merde…donne donc cette foutue lettre quand tu y retourneras et j’te ferai de belles bottes. De belles bottes, ouais.
En oscillant, l’homme glisse quelque chose dans la veste de maître Vallier.
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Une jeune femme aux cheveux blonds en nattes semble visiblement très enivrée. Elle ‘’colle’’ Kija de façon plus qu’insistante, et celui-ci ne semble pas du tout savoir quoi faire. Il repousse tant bien que mal la femme saoule de la main, pour la tenir à distance. Ce qui, apparemment, ne semble pas la décourager.
- Monsieur Kijaaaaaaa… vous êtes vraiment craquant ce sooooooir.
Elle bondit prestement et lui colle un chapelet de baisers plutôt gluants sur la joue. Les bras autour de son cou, elle semble ne pas vouloir lâcher prise. Kija, les yeux ronds, tente maladroitement de la décoller.
- Dites donc…votre mari ce serait pas le costaud là-bas? Il doit vous attendre, non?
- Qu’il aille se faire voooooooir! Moi j’ai vraiment très trèes mal…lààààààààà. Vous êtes soigneur nooon? Vous voulez voooooir?
Sur cette question plutôt nébuleuse, elle relève spontanément son chemisier devant Kija qui ouvre des yeux démesurément ronds.
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Adrien de Mystren (Patrick Nolin) qui fixe le vide, une bouteille à la main. Celle-ci est presque complètement vide. Il s’agite et grogne en direction de…rien. Il peste et engueule un espace vide.
- LAISSES MOI TRANQUILLE. TU N’EXISTES PLUS TU…TU N’ES PLUS LÀ!!! POURQUOI TU M’AS DIS DE PARTIR? ÇA N’A SERVIT À RIEN. RIEN!!! J’AURAIS DÛ MOURIR SUR LA FALAISE MAIS NON! MA MORT A ÉTÉ BIEN PLUS LONGUE ET INSUPPORTABLE?

Il jète sa bouteille furieusement vers le vide, en criant de colère.
- JE SUIS MORT EN DEDANS TU ENTENDS? JE SUIS MORT MAIS LA COLÈRE, ELLE NE ME QUITTE PAS! LAISSE MOI MOURIR OU JE VAIS TOUT DÉTRUIRE, TOUT DÉTRUIRE TU ENTENDS??



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