Un matin d'automne

Non non, on va aller les voir, ca c'est sur, de ce pas d'ailleur

Astria, on y va, on devrais emporter quelques personne avec nous juste au cas ou...

Mais je veux pas de bévue, si jamais il sont la pour parler...

Enfin on verra bein

Effectivement, tu es tres concerné, et ton épeé pour etre utile si jamais ils sont agressif, espéront que non.

Astria revient quinze minutes plus tard, essoufflée.

- Bon, j'ai averti Abalstaff et Harold. Ils nous rejoindront peut-être. Vous êtes prêts?

Elle part donc pour aller rejoindre les Kunsels. Sur le chemin, elle appelle évidemment la protection de sa déesse.

- Nous sommes là pour discuter. Essayons d'en savoir le plus possible sur la situation.

Vous prenez donc la direction de l'orée du bois, accompagnés des quelques curieux ou courageux qui voudraient bien vous suivre. Cela prendra évidemment au moins une heure de marche.

Non loin de la lisière des bois, 2 kunsels ont attaché deux montures blanches à un pommier solitaire, et ils sont confortablement assis en tailleur dans les feuilles mortes. Ils boivent quelques chose dans des gobelets. Quelques chose de chaud, de toute évidence, puisque vous pouvez voir des vapeurs s'élever dans les airs.

Il y a un homme et une femme. L'un garde près de lui un bâton semblable à celui que vous avez déjàa vu, blanc et argent.

Astria attend d'être à portée de voix. Elle porte ses vêtements de voyageur nailliens. Son épée est accrochée à son flanc, son bouclier est attaché dans son dos. Quelques petites sacoches pendant à sa ceinture. Elle parle fort et calmement.

- Bon matin à vous! Nous avons entendu dire que vous souhaitiez discuter avec les sages de cette forêt.

*Sunrack va verifier s,il sent toujours la connection avec sa déesse, si les Kunsel l'ont coupé, cela sera un mauvais présage pour lui*

Sunrack va tout de meme le présenter un salut en baissant la tete de facon polie et cest armes sont tous au foureau, il a une démarche sur mais aucunement agressive.

Ils observe

Les deux individus ne semblent pas prêter attention au manège de l'elfe. Ils se lèvent doucement et portent rapidement la main droite près de leur tête, dressée vers le ciel.

RYGAS-MIKHÄ
Namâe, peuple de la forêt. Nos intentions étaient en effet de rencontrer vos sages. (disant cela, elle regarde Astria et Abalstaff droit dans les yeux, en souriant, ce qui vous met un peu mal à l'aise)

T'SERYN
(il se contente de regarder toutes les personnes présentes en silence, comme si il les jaugeait. Il n'est cependant pas agressif.)

Maintenant annoncée, Astria s'avance plus près.

- Je suis Dame Astria, dirigeante de Nouvelle-Alliance, paladin de Naïlli, diccio de Târ-sha, ambassadeur des forêts du Sud et barde. Voici Abalstaff, conseiller de Nouvelle-Alliance, Sunrack, trésorier de Nouvelle-Alliance, Hrafn, représentant de Nouvelle-Alliance et Harold, également représentant de Nouvelle-Alliance.

Elle sourit un peu, conservant son air sérieux.

- Vous avez bien effrayé le pauvre Myrna en l'envoyant nous quérir.

Elle marque une pause.

- Nous vous écoutons.

La femme sourcille un peu, étonnée.

- Est-ce ici que vous recevez vos gens? Enfin, si cela fait partie de vos coutumes...

Astria plisse un peu les yeux, mais garde son sourire. Elle parle calmement, tout de même tendue.

- Excusez-moi, mais vous êtes-vous mêmes présentés ou annoncés à l'avance? Est-ce ainsi que vous procédez? Chez nous, les gens annoncent une visite quelques jours à l'avance en envoyant un courrier. Vous arrivez ici et demandez une audience immédiate? Nous sommes venus rapidement, et cela prouve notre bonne foi. Nous ne savons pas pourquoi vous êtes ici, mais nous savons que nos peuples sont en conflits, car ils n'arrivent pas à se comprendre. Ainsi nous sommes prêts à discuter. Il serait difficile de vous emmener à Nouvelle-Alliance, car les gens sont terrorisés de vous, et non sans raison. De plus, il est jugé fort malpoli de ne pas se présenter dès le début d'une conversation.

Elle termine plus doucement, l'air interrogateur, tentant de comprendre.

- Chez vous, comment auriez-vous procédé?

Les deux se concertent un moment du regard.

RYGAS-MIKHÄ
- Donner son nom avant d'avoir parlé à quelqu'un? Nos coutumes sont vraiment différentes, en ce cas. Un nom est pour nous un cadeau, car il exprime beaucoup plus que ce que les yeux peuvent percevoir. Il représente tout ce que vous êtes.

Elle jète un coup d'oeil à la ronde.

- Nous sommes étonnés de la situation...puisque c'est vous qui avez fait les premiers pas vers un échange entre nos peuples. Nous ne laissons pas les invités sur le pas de la porte. Nous ne le faisons...qu'à nos ennemis... Nous pensions donc être attendus. On nous aura sans doute mal informé.

Elle dis cela d'un ton neutre, sans agressivité.

Astria a l'air un peu étonné lorsqu'elle répond.

- Effectivement, le nom permet de connaître et reconnaître la personne. Il s'agit encore une fois de preuve de bonne volonté que de le dire à des gens que l'on rencontre. Il s'agit d'une certains façon de préparer le terrain à la discussion et de savoir à qui on a affaire. À ce que je sache, c'est ainsi dans presque tout Tanorâ.

Elle hoche la tête, lève les sourcils un peu.

- Je ne me souviens pas que nous ayons fait les premiers pas pour discuter avec vous. Cela ne veut pas dire que nous soyons contre l'idée de discuter, bien au contraire pour ma part. Puisque nous ne vous attendions pas, nous n'avons pu préparer de lieu pour une rencontre. Cependant, vous devrez comprendre que les conflits entre votre peuple et le notre ne rendent pas les discussions ni les ententes faciles. Nombreux sont les gens qui ont perdu des êtres chers suite aux malentendus entre nos peuples. Et vous êtes beaucoup à porter le deuil également.

Elle semble vraiment concernée pour les souffrances des Kunsels aussi. Elle marque une pause.

- Il y a donc bien des choses que je dois considérer, car je représente des villageois, pas simplement mes propres idéaux. Je ne souhaite pas vous manquer de respect, mais j'ose vous demander vos noms et vos intentions générales afin de vous faire une proposition pour notre rencontre. Puisque nous vous avons déjà fait le cadeau de nos noms, nous devrions être sur un pied d'égalité là-dessus. Sinon, nous devrons rester ici pour discuter, malgré le temps un peu gris.

La Naïllienne se retourne vers les autres, l'air interrogateur.

*Sunrack va parler a vois haute pour ne rien caché*

Il me semble que c,est Hrafn qui a demandé a Myr un moyen d,établir de nouvelle disctution.

Et je crois me sauvenir M'etre entretenue sur une de vos consoeur, si le terme est bon, sur le fait que nous aimerions discuter.

Je crois que des deux cote nous avons subis de nombreuse perte, et je sais ce que vous subisser de l,autre cote, du moins en partie.

Il y a des erreurs qui ont été fait dans les deux camps, vous avez voulu nous aider avec les meilleur intention du monde en nous coupant de nos dieux, mais cela a eu l'effet contraire, et la réponse de nos peuple...enfin, des gens qui vive en ce monde a été par la violence.

La suite, on la connais tous a quelques degré de différence.

Je suis daccord que nous ne devons pas effrayer la populace, mais il serait mal vue de les faire patienter ici dans la forest, ils ont fait longue route pour parler, je ne sent pas d'agressivité et ils n'ont également pas bloqué l'acces a mon dieux. Je leur fait confiance pour le moment

Il serait sage de trouver un endroit confortable pour les acceuillir, question de ne pas les outré d,avantage.

Ils ont sans doute faim aussi, le nord est bien loin d'ici.

L'homme observe silencieusement la discussion. Après les propos d'Astria, il semble relativement perplexe, pour ensuite répondre calmement en regardant tour à tour Sunrack et Astria:

T'SERYN

''Les propos du trésorier sont justes. Nous sommes ici porteurs d'une invitation à discuter de paix durable. Il semble que vous soyez surpris par notre venue. Nous sommes disposés à vous laisser échanger librement entre vous. Nous resterons ici à votre disposition jusqu'au moment opportun.''

Astria regarde le Kunsel qui vient de prendre le parole.

- Veuillez nous pardonner pour ce malentendu, ambassadeurs Kunsels.

Elle incline la tête respectueusement.

- Je vous remercie de votre patience. Nous tenterons d'être brefs afin d'éviter de vous faire attendre trop longtemps.

Elle s'adresse surtout à Sunrack, regardant les autres ''sages'' tour à tour. Il est possible pour les Kunsels d'entendre ses propos, car elle ne baisse pas le ton.

- Les lieux où nous pouvons les recevoir sont soit chez moi ou chez Sunrack. Abalstaff, pourras-tu te charger d'aller chercher un encas pour nos invités? Nous devrons leur demander de se plier à nos lois, car ils entreront à Nouvelle-Alliance. Je crois tout de même que de connaître le nom d'une personne avant de la faire entrer chez soi est une chose importante. La raison en est simple, c'est ainsi que nous reconnaissons les gens et pouvons communiquer avec eux en cas de besoin ultérieur. Je vous demande vos avis. Soyez brefs, je vous prie.

- Sunrack, Hrafn, il a été demandé d'établir une nouvelle discussion à quel sujet? J'ai besoin d'une réponse la plus précise possible.

Pour ma part c'était simple, un moyen d'arreter de nous entre-tuer et de voir et connaitre l'ennemie qui les afflige dans leur terre et possiblement, s'entraider la dessus. Car à ce que nous doutons, il est possible que leur ennemis sois un des aspect de Katéma.

Je suggère fortement de faire cela chez toi, chez moi sa ne serais pas une bonne idée.

Pour Hrafn, je crois que c'était pour négocier à propos des terres elfiques.

*Sunrack reste polie et parle de facon à ce que les Kunsel peuvent entendre*

- Et pour les lois et le nom, qu'en penses-tu?

Moi je suis pas conseiller, mais je crois que...leur nom, personnellement, il me le dirons bien quand il le voudrons, d'ici la, retse a savoir comment il veule que l'ont les prénomes, question de ne pas les offensers, lors d,unc choc culturelle, il est bien que les deux parties mette de l'eau dans leur vin, ils ont fait les premiers pas, soyon respectueux de leurs coutume.

Pour les lois, je ne crois pas qui y est probleme, mais sur ce point, si tu veux leur faire un bref résumé, a ton choix.

Mais encore une fois, je ne me sent pas menacé, ils sont courtois et polie et non montrer aucun signe d'agressiivité.

Je crois aussi dire, qu'il sont deux, s'il veule faire du mal...sa pourrais leur couter cher autant qu'a nous.

Donc a toi de voir, mais personnellement, je n'en vois pas la nescessité.

- Harold, Abalstaff?

Abalstaff parle aussi d'un ton pour que tous puisse l'entendre. Il est calme et reste accoté paisiblement sur son arbre


- Si vous avez voulu communiquer avec eux et que vous voulez parler de paix et d'alliance entre peuples, je ne vois pas pourquoi vous voudriez vous cacher dans la maison d'une personne ou d'une autre. Avez-vous des choses à cacher à quiconque du village selon ce que vous voulez leur jaser ?

Abalstaff prend une petite pause pour laisser les autres réfléchir avant de reprendre la parole.


- À mon avis, le meilleur endroit pour les recevoir en ce moment c'est l'auberge, nous y seront mieux installés, il y aura moyen de manger un petit quelque chose tout en sirotant une bonne bière. Les lois y sont affichés, ils pourront les lire s'ils le veulent bien et ainsi voir comment nous fonctionnons ici, rien ne les force à toutes les respecter à mon avis, dans le sens qu'ils ne sont pas obligés de fêter, mais je suis certain qu'ils ont une grande logique pour ne pas faire les imbéciles non plus. Le fait de les apporter à l'auberge va surement faire peur à certain citoyens, mais de ne pas les cacher va montrer nos intentions de vouloir faire la paix avec eux et qu'ils sont comme nous, des êtres pensants et qu'ils sont ici pour le bien et non pour nous tuer un par un. Si notre but est d'être en paix avec eux et en bonne relation, vaut mieux le faire comprendre à tous immédiatement. À la base, Nouvelle-Alliance est sensé être un refuge non ? Je ne vois pas pourquoi nous accepterions pas ces gens ici présents, surtout qu'ils nous sont venus avec de bonnes intentions.


Abalstaff se retourne vers les Kunsels, sourire au lèvres


- Pour ce qui est de vos noms, je présume que vous avez vos coutumes qui sont différentes des nôtres, je les respectes et je serai honnoré de les connaitre, tout comme vos noms, si un jour nous méritons de les entendres.